POL LIBER
14 5 98 +
14 5 00 Concise.
Charte
de Fondation de
·
*L’ELAN
DES LIBRES PENSEURS*
L’HUMEUR
DU TEMPS.
*
_PREAMBULE _:
LES LENTS S’ENLACENT ET
S’ELANCENT.
Sur la piste d’envol : une volonté
de verre et de terre, pour un civisme d’acier au service de ceux qui gagnent et
de ceux qui souffre.
Un débouché sur l’ouverture d’esprit et
la suave douceur des tripes.
Résolument européen, mais pas à
n’importes quelles conditions.
Pour que l,Europe se construise par le
sol et le respect des cultures locales.
Loin des spéculations effrénées des
financiers aux noires dents longues qui se satisfont confortablement de
l’argent dont ils prétendent ignorer la réelle provenance.
Loin des mesquines sournoiseries des
politiciens imbus.
Loin des écolos en grosses autos.
Fi des «donneurs de leçons » et
autres moralisateurs prétendument justes.
Loin l’hypocrisie régnante sur Dieu le
Fric.
Cessons ce jeux de destruction, ce lent
suicide collectif.
Efforçons nous à réfléchir a
l’établissement de principes et de normes respectants la Vie, et les Etres qui l’accompagnent.
Le chemin en vaut la tâche, et la tache
est propre.
En avant !
Main dans
la main, poursuivons le Monde, afin qu’il conserve son élan vital.
A tout
instant, restons vif et à l’affût.
GB 14 5 98.
Concise.
POURSUITE :
SKINS IN
CONCISE (V.D./C.H.)
11/4/98
Grande Salle.
- OUI,
L’HORREUR EST HUMAINE !.
L’autre soir nous prenions un bol d’air
frais, parcourant les rues du haut du village de Concise. Quelle ne fût pas notre surprise lorsque
nos pas croisèrent ceux de l’oie ; de ces pas qui agressent les ouïes et
brutalisent les esprits sains.
Un rassemblement de skino-néo-naze avait
pris ces quartiers dans la Grande Salle, investissant ainsi le bourg et ses
alentours
La veille du jour de Pâques, comment, en
humble citoyen, ne pas réagir face à un tel danger, dont la responsabilité
incombe aux autorités responsables.
Soit, ils se sont fait berner, entend-on
dire dans les parages.
Si tel est le cas, Un cri
s’impose :« au secours, Berne !».
L’obscure fermeté se tiendrait-elle sur le
seuil de nos portes et aux abords de nos écoles ?
Comment peut-on laisser en liberté, au cœur
de notre chancelante démocratie de façade, une telle violence de propos,
d’attitudes agressives, de comportements bafouant ostensiblement la tendresse
et l’amour du prochain ?
L’idée que, pour vivre il faut tuer son
voisin, est inhumaine.
Réfléchissons, enfin ! Même si des
préoccupations mercantiles occupent nos esprits inquiets..
L,insolence a aussi ces lois :
veiller au respect de la dignité de l’Etre.
Non ! Europe, dans de telles
conditions, nous ne pouvons admettre cette construction vermoulue.
Suisse, ton propre honneur est en jeux et
ton temps compté,
Collectif
de Résistance pour la Sécurité des Ames.